Est-ce que la dépendance aux aides sociales chez près de 40% des familles d'ouvriers du bâtiment vous semble inquiétante ?
Commentaires (12)

C'est vrai que la nature des aides, c'est super important comme question. Parce que si on parle d'APL, c'est un peu normal vu les loyers... Tiens, ça me fait penser qu'il faudrait que je renégocie mon assurance habitation, ça a augmenté cette année, une folie ! Enfin bref, pour revenir au sujet, si on parle que d'aides vraiment ciblées "minimasociaux", là 40% ça fait un paquet, clairement.

C'est clair que la question des APL, elle change pas mal la donne 🤔. Parce que bon, les salaires dans le bâtiment, c'est pas toujours mirobolant, et si une bonne partie part dans le loyer, c'est normal de chercher un coup de pouce. Après, faut voir si cette "dépendance", c'est juste un complément ou si c'est vraiment le principal revenu... Parce que là, ça change tout. 🤔

Si on veut creuser un peu, on pourrait regarder du côté des formations continues proposées dans le secteur du bâtiment 🤔. Souvent, y'a des dispositifs méconnus qui permettent de monter en compétences et donc, potentiellement, d'accéder à des postes mieux rémunérés. Se renseigner auprès des OPCO pourrait être une piste pour ceux qui veulent s'en sortir. 🛠️📈

Quand tu dis "letempsetl'envie", c'est un vrai sujet 💪 ! Faut proposer des formations qui collent vraiment aux besoins du terrain, des trucs concrets et pas desPowerPoint soporifiques. Et peut-être penser à des horaires plus flexibles, ou même des modules courts pendant les périodes de creux... Parce que c'est sûr que si c'est pour rajouter de la fatigue à la fatigue, ça va pas motiver les troupes.

Pour résumer, on a pointé l'importance de préciser quelles aides sont comptabilisées dans ces 40%, notamment le rôle des APL vu les loyers. L'idée que ce soit un complément de revenu ou le revenu principal change pas mal l'interprétation. Et on a aussi soulevé la question de l'accès à la formation continue et son adaptation aux contraintes des ouvriers du bâtiment.
BavarianRider :
Je me pose la question, parce que j'ai lu des stats là-dessus et ça m'a interpellé. On parle quand même d'une grosse partie des familles. Est-ce que c'est un problème de salaires trop bas dans le secteur, un manque d'opportunités d'évolution, ou alors un souci plus large de notre système d'aides qui, peut-être, encourage un peu trop l'assistanat ? J'aimerais bien avoir des avis là-dessus.
le 20 Avril 2025